L’eau est une préoccupation majeure pour tous, un besoin vital.

On ne vous refait pas l’histoire de la création de la vie, mais le constat est là: pas d’eau, pas de légumes… Dans la réflexion de l’implantation de cap légumes, la gestion de l’apport en eau pour les cultures en terre a été pensée dès le départ.
Notre ambition est de pouvoir, à terme, être totalement autonomes pour l’irrigation des légumes. Pour cela, la configuration en légère pente du terrain permet d’envisager la création d’une rétention.

En janvier, le constat est clair: de l’eau il y en a cette année! Peut-être même un peu trop cet hiver, la moitié au moins du terrain n’est pas exploitable car le sol est à demi inondé. C’est un contre temps pour cette année mais une très bonne nouvelle pour la suite: l’idée de la mare est confirmée!




A chaque trou que l’on fait, c’est une piscine qui se forme, il y a dans le sous sol une couche d’argile qui va nous permettre de stocker.

Jonathan commence donc à creuser au point bas du terrain, et prévoit d’élargir à nouveau à la fin de l’été, et petit à petit jusqu’à obtenir le volume nécessaire pour l’exploitation.

En parallèle, il faut drainer le terrain et surtout les espaces cultivés. Le moins que l’on puisse dire c’est que ça fonctionne : de petits ruisseaux parsèment maintenant le terrain et soulagent les jardins pour permettre la préparation des sols jusqu’à maintenant en prairie.